Une meute apparemment survoltée est " aux trousses " de M. Bernard Debré . Pourquoi ? le député de Paris, ancien ministre, aurait affirmé que Nicolas Sarkozy était informé des dépassements des comptes de sa campagne électorale . Plusieurs des commentaires de lecteurs de cet article (Le Point.fr du 27 juin 2014) sont venimeux . Fichtre donc, lui reproche-t-on de mentir ou de ne pas mentir ?
Dans le passé - assez lointain il est vrai - j'ai connu Bernard Debré. Je garde le souvenir d'un homme rigoureux, ouvert et franc . Ce brillant professeur de médecine était entré en politique (en Indre-et-Loire) avec modestie . Que certains lecteurs/commentateurs taxent M. Debré de "politicien" me fait sourire : ce n'est pas le genre de la famille.
Cette affaire de comptes de campagne ressemble bien à un conte où le dénouement demeure encore incertain en raison des épisodes qui se chevauchent plus qu'ils ne se recoupent.
Quoi qu'il en soit la " droite " qui se déchire contribue à faire les beaux jours du Front national qui ne demande que cela.
Quoi qu'il en soit la " droite " qui se déchire contribue à faire les beaux jours du Front national qui ne demande que cela.
Ces zizanies ouvrent-elles pour autant un boulevard à la "gauche" ? Probablement pas : tant que la croissance ne repartira pas pour de bon, ce qui ne sera probablement pas le cas avant 1 an (1).
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(1) 1,5 à 1,8 % d'augmentation du P.I.B. en rythme annuel espérés au second semestre 2015).
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(1) 1,5 à 1,8 % d'augmentation du P.I.B. en rythme annuel espérés au second semestre 2015).
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