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mardi 7 janvier 2025

Après Trudeau : Macron ?

 

Certains se posent la question : le Président Macron ne serait-il pas tenté de suivre l'exemple de Justin Trudeau qui vient de démissionner de son poste de Premier ministre du Canada sous le coup de son impopularité ? 

Mais , bien sûr , la situation n'a rien à voir : Justin Trudeau ne fait que disparaitre un moment du théâtre de marionnettes pour revenir dans quelques mois après les nouvelles élections . En revanche Emmanuel Macron ne pourrait rentrer à nouveau par la fenêtre après être sorti par la porte .

 Dommage que le Président se soit aliéné beaucoup de nos concitoyens en plaçant (cf. dissolution ) son ego au-dessus des intérêts de la France et en  laissant filer le "moulinet" non pour prendre des truites  mais  pour nous endetter .  

Cela dit , E. Macron ne démissionnera pas et assumera peut-être le rôle d'un Roi - Mage encensant la crèche . Sauf , évidemment , si ce n'est pas Jésus dans la crèche.... mais Mélenchon !  

dimanche 29 décembre 2024

France : Tout "fout le camp " , vraiment ?

 

Est-ce un symptôme (un peu lunaire) de fin d'année ? on a l'impression que la France tourne en rond , rejoignant les anciens derniers de la classe qui , désormais , font mieux que nous (Espagne, Italie, Portugal , Grèce ...) ? . Que dirait De Gaulle et Michel Debré s'ils constataient ce quasi retour à la IV République (pour ne pas dire la III ème ) en raison de l'instabilité politique que nous connaissons .

Dans cette lente agonie de nos institutions et du "personnel" politique, il n'y a que le "croque-mort" Jean-Luc Mélenchon qui paraît bien se porter ...pendant que le PS le supporte ...encore . Qu'en sera-t-il du vote du budget et d'un pacte de "non-agression" évitant la motion de censure ?

Certes, François Bayrou va faire de son mieux , persuadé qu'il est - comme Jeanne d'Arc - porteur d'une étincelle divine .Espérons le miracle qui éviterait que la France soit les deux genoux à terre . E. Macron , G. Attal ont été , eux aussi, porteurs d'espérance ...à nos dépends ...si on regarde dans le rétroviseur avec objectivité les chiffres de notre déficit et la perte de notre crédibilité (cf. Afrique )  . 

A souhaiter que ces sentiments ne soient pas autre chose que le vague à l'âme de lendemains de fête !

lundi 16 décembre 2024

BAYROU : cartes en mains ?

 François Bayrou , depuis son jeune âge , était persuadé qu'il avait un destin national : il est vrai que Pau (dont il est maire ) est proche ...du sanctuaire de Lourdes . Quoi qu'il en soit le nouveau Premier ministre  a 2 qualités : la sincérité dans ses propos et une "vigueur" qui lui permet , si nécessaire,  de tenir tête au chef de l'Etat . Par ailleurs il sait "jongler" avec les partis : mais plutôt une jonglerie "espiègle" qu'un machiavélisme amoral .

 A la différence de Michel Barnier , homme estimable , mais habitué à négocier et discourir avec le "beau monde" et son gratin (comme dans la négociation du Brexit) , François Bayrou sait mettre les mains , s'il le faut , dans le cambouis . Et actuellement ce n'est pas la "chienlit " (selon l'expression de De Gaulle) qui fait défaut .

Souhaitons bonne chance au béarnais et - tout comme Henri IV le promettait aux Français - une rondelette "poule au pot " ! 

mercredi 11 décembre 2024

P.S. à quoi joue-t-il ?

 

Le parti socialiste est sur la voie du déclin et Olivier Faure , son Président, en est le porte-drapeau . Comment a-t-il pu faire alliance avec L.F.I. et les outrances de Mélenchon ? Croyait-il sauver la peau du PS en se servant de la locomotive mélenchonienne ? Mais on sait qu'en France les trains arrivent rarement à l'heure . 

Ceux qui ont - ou avaient - une partie de leur cœur à gauche en appellent aux mânes de Jean Jaurès et au , jadis, Congrès de Tours où les socialistes avaient affirmé leur identité face (alors ) aux communistes .

Olivier Faure tente de peser dans la balance pour la (prochaine) nomination d'un Premier ministre . Mais que pèse -t- il ? Une feuille d'automne ...emportée par le vent .

dimanche 1 décembre 2024

Marine Le Pen : entre deux feux !

 

Nul doute que la situation soit grave et que Marine Le Pen tienne "dans sa poche" (ou plutôt dans sa langue ) l'avenir à court/moyen terme de la France . Il y a sûrement la tentation de chambouler le paysage politique quitte à reconstruire par-dessus mais il n'est pas dit que l'on puisse reconstruire . En cas de motion de censure votée par le RN , c'est plus qu'une tempête mais un tsunami qui porterait atteinte à la crédibilité à long terme (et non pas seulement à court terme ) de la France . 

C'est le moment ou jamais pour Mme Le Pen (et le RN ) de faire preuve de responsabilité tout en mettant à l'épreuve Michel Barnier . Mais qui gagnerait en provoquant une noria de PM aussitôt "dégommés" par les motions de censure ? L'image de la France serait pour longtemps ternie tout comme l'image de respectabilité du RN . Certes, l'on imagine la tentation de Mme Le Pen d'en découdre après les réquisitions des procureurs . Mais ne dit-on pas que ce sentiment là "se mange froid"... tout en pouvant être assorti d'un brin de bon sens . 

De grâce épargnez-nous Lucie Castets, Marine Tondelier et  - évidemment - Jean-Luc Mélenchon !

jeudi 28 novembre 2024

France : dos au mur ?

 

Nous sommes à deux doigts d'un renversement du gouvernement à l'occasion du vote ( ou du non vote ) du budget .Au-delà des explications et récriminations financières nous en sommes là à la suite d'une erreur de stratégie d'Emmanuel Macron , Président . On sait que des signaux (faibles mais allant grossissant ) sont parvenus dès le dernier trimestre 2023 à l'Elysée : Bruno Le Maire a informé (sur la base d'une note du Trésor) l'exécutif du "dérapage "budgétaire (notamment mauvaise anticipation des recettes ). Au lieu de jouer "cartes sur table" on a reculé le moment de dire la vérité aux Français et tenté de "noyer le poisson" par la dissolution législative de juin dernier . 

Ce que certains (dont moi peut-être ) considéraient comme un calcul gagnant à moyen terme a tourné en désastre politique et levier pour les ambitions des uns et des autres  . La France serait-elle le dos au mur et dans la situation de la Grèce jadis ? Je ne le pense pas . Mais l'image que nous donnons aux investisseurs d'un chaos politique est désastreuse . Alors que les couteaux s'affutent en coulisse , le Président devrait prendre une initiative ...mais il ne peut dissoudre . Certains , à défaut d'autre initiative , appellent à la démission du Président et à de nouvelles élections présidentielles .Je doute qu'E. Macron ait cet esprit de sacrifice . 

Mais il devrait "bouger" car le chaos politique (plus qu'économique) est tel qu'il faut en appeler au peuple d'une manière ou d'une autre . Certes, il est possible que la situation budgétaire se débloque d'ici 48 H (vote du budget de la sécurité sociale et vote du budget si cela bouge à Bercy ) mais la situation politique n'est pas prête à se stabiliser et , dans l'impasse où nous sommes, on ne voit guère de ligne d'horizon.... à moins que le Président sorte cette fois un (vrai) lapin de son chapeau .

vendredi 15 novembre 2024

Le Pen : un Parquet bien ciré ...

 

C'est un Parquet dans tous ses éclats qui a formulé ses réquisitions concernant l'affaire des assistants parlementaires du RN . Le Rassemblement national n'est pas "ma tasse de thé " loin de là !

Pour autant je ne peux m'empêcher de penser qu'il y ait une part de manœuvre en empêchant la procédure d'appel du fait du recours à l'inégibilité  à titre exécutoire , ce qui empêcherait Mme Le Pen de faire appel . Or l'Appel , conformément au double degré de juridiction , est une des  bases de notre droit 

Le fait qu'une magistrate du Parquet ait regretté publiquement lors de l'audience qu'elle soit dans l'obligation de ne retenir aucune charge à l'encontre d'un des "prévenus" va dans le sens de la politisation des réquisitions . Nombre de voix (à droite, au centre , à gauche) se sont élevées contre ce "dérapage" plus ou moins contrôlé qui mériterait que soit saisi le Conseil de la Magistrature . 

Comme le dit Eric Shoettl , ancien secrétaire général du Conseil Constitutionnel ,"l'Etat de droit ne doit pas empêcher de modifier l'état du droit" si les textes de références ou les pratiques rendent inopérantes le principe essentiel de l'Appel . J'espère , au nom de ces principes, que de nombreuses voix vont encore s'élever avant le prononcé du jugement .

vendredi 8 novembre 2024

Finances publiques : à qui la faute ?

 

La dégradation de la situation budgétaire interpelle et inquiète les Français  ...et l'ancien ministre des finances a été , à son tour , interpellé par la Commission des finances du Sénat . 

Sans être expert en la matière je retiens que l'ancien ministre n'était pas informé de la faiblesse des rentrées des recettes fiscales ...cela au nom d'une "étanchéité" (que l'on peut trouver bizarre) entre les services "techniques" et le ministre et son cabinet pour éviter une manipulation politique  . Il y aurait (assure Bruno Le Maire ) le risque - de la part du "politique" -  de "jongler avec les chiffres" et ainsi de justifier un surcroît de dépenses publiques assises sur les recettes espérées . 

Bigre ...L'étanchéité aurait été telle qu'aucun coup de fil n'aurait été échangé entre Inspecteurs généraux des Finances d'un côté à l'autre de la Seine ? 

Je retiens aussi (c'est BLM qui le dit) que Matignon  avait , dès le 13 décembre 2023 , été informé d'une note de la Direction du Trésor faisant état d'inquiétudes quant aux rentrées fiscales . Le ministre aurait - dans ce contexte - proposé des annulations de crédit ...Si Bruno Le Maire dit vrai (et pourquoi mentirait-il à la Commission des Finances du Sénat ? ) il y a eu quelque part , à tout le moins,  un manque de réactivité ou , éventuellement , une dissimulation . La Commission d'enquête de l'Assemblée y verra-t-elle plus clair  et les Français auront-ils droit , un jour,  à la vérité ? 

dimanche 27 octobre 2024

Supprimer le Conseil économique , social , environnemental

 

Au moment où , pour éviter un désastre financier, des parlementaires et l'administration de Bercy sont à la recherche d'économies de "bout de chandelle" je m'interroge - comme beaucoup - sur l'intérêt de conserver le CESE qui coûte à l'Etat 50 millions par an (approximativement) . Comme jadis l'avait relevé la Cour des Comptes les rapports que font ses 175 membres (non élus ) sont souvent redondants . On le sait , le CESE est le lot de consolation d'élus en disgrâce ou bien de personnes qu'il faut soit honorer soit récompenser . 

A ce titre j'ai en mémoire la nomination au CESE d'un conseiller général  afin qu'il laisse sa place à un ministre très connu et très politique qui entendait reprendre racines dans ses terres qu'il avait un peu délaissées . Finalement le ministre ne se présenta pas mais le conseiller général en question conserva son poste au CESE ... cette histoire remonte à une quinzaine d'années mais je suis persuadé qu'elle s'est renouvelée . 

Il est vrai que certains me diront que s'il fallait confier la même tache à un cabinet (comme McKinsey ...) cela reviendrait peut-être plus cher . D'où l'intérêt peut-être de confier au CESE la tache de faire un "rapport sur les rapports" ...avant de le supprimer !

jeudi 3 octobre 2024

Budget : "faillite" budgétaire ou politique ?

 

Ainsi le nouveau gouvernement se trouve au pied du mur et à la recherche d'une soixantaine de milliards d'euros (économies ou impôts ? ) . Comment se fait-il que cette situation n'apparaisse que depuis quelques mois alors que le précédent gouvernement en avait forcément connaissance ?

Bruno Le Maire avait-il laissé entendre au premier semestre que nous serions confrontés à ce trou béant dans nos finances publiques ?

A se demander si pour des raisons politiques on a caché pendant des mois la vérité aux Français . Est-ce par hasard cette considération et la crainte qui l'accompagnait qui serait à l'origine de la dissolution ? une sorte "d'enfumage politique " en quelque sorte .

vendredi 13 septembre 2024

Et si Barnier était Président ?

 

On sait que la stratégie de JL Mélenchon consiste à déstabiliser la société pour provoquer une crise et une élection présidentielle anticipée . C'est la stratégie du "foutoir" . Dans ce contexte il n'est pas exclu que Michel Barnier soit un recours  en cas d'élection anticipée ...ou même en 2027 . 

Barnier est un homme équilibré et sans fantasme paranoïaque le poussant chaque matin "en se rasant" à songer (comme Sarkozy jadis ) à l'élection présidentielle . Qui de Mélenchon ou de Le Pen l'emporterait en cas d'élection anticipée ou bien à l'échéance normale de 2027 ?

 Peut-être un "troisième homme" : Michel Barnier ?


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NB- le comportement jusqu'au boutiste d'Olivier Faure , Premier secrétaire du PS et inféodé à JL Mélenchon  a éliminé l'hypothèse Cazeneuve pour laquelle penchait (il semble) au départ E. Macron .

dimanche 1 septembre 2024

Cazeneuve ou Bertrand : quel Premier Ministre ?

 

Les jeux sont à cette heure probablement faits . E. Macron a certainement pesé le "pour" et le "contre" . En faveur de Cazeneuve une relative tranquillité et le compromis d'un homme d'Etat ex PS mais conservant des atouts à gauche .  

En faveur de Xavier Bertrand un gouvernement de "combat" d'un homme qui prendra et assumera des risques . Il sera soutenu par LR, des Macronistes et - sans mot dire - par quelques RN .

 E. Macron a sûrement effectué ce choix quand bien même il recevra les 2 hommes demain matin . En tout cas la fumée blanche (ou rosée) sortira au plus tard mardi . 

mardi 27 août 2024

Gouvernement : "Adieu veaux , vaches , cochons , couvées "

 

Pour le "Nouveau Front Populaire " l'horizon semble se rembrunir et l'on exulte moins que JL Mélenchon qui en appelait au "Grand Soir" au lendemain des élections législatives  . Ainsi ni Matilde Panot  ni Sandrine Rousseau ni Lucie Castets , ni Daniele Obono ni Olivier Faure ni Manuel Bompard ne seront ministres . 

Faut-il le regretter ...ou , plutôt s'en réjouir ? 

Leur recours se trouve désormais (le 7 septembre ) dans la " Rue" . C'est probablement cela qu'attendait  JL Mélenchon qui en appelle à une VI ème République dans laquelle il serait une sorte de Robespierre . 

Nicolas  Maduro : venez vite à son secours !

samedi 24 août 2024

Et si E.Macron reconduisait G.Attal ?

 

Cela peut paraître incongru et pourtant ...

Gabriel Attal est plébiscité par une large majorité de Français . Et , dans le climat actuel de suspicion et de manipulation seul Attal fait vraiment le poids . Certes personne n'envisage que Lucie Castets soit "mise aux manettes" par le Président ( à moins que ... ce soit une nouvelle "grenade dégoupillée ") .  Mais le Président semble tourner en rond autour du "bloc central" ...à la recherche du père Noël .

Evidemment si Attal était reconduit Mélenchon s'époumonerait  mais cela n'empêcherait pas la Terre de tourner . Attal vient du parti socialiste et est donc ouvert à des personnalités civiles ou politiques de gauche . Et la droite ne le sanctionnerait probablement pas . 

Chiche ! J'en doute toutefois tant l'hôte de l'Elysée serait encore l'objet de sarcasmes . 

  

lundi 19 août 2024

Mélenchon : "Gros mots"

 

En proférant la menace d'une destitution (1) du Président , Mélenchon dit n'importe quoi : Il agite - avant la rentrée politique - un chiffon rouge qui s'apparente à une muleta . Mais Mélenchon ne lit la Constitution que de son oeil  gauche  : d'une part l'article 8 de la Constitution  se borne à indiquer que le Président nomme le Premier ministre (sans fixer de délais et sans préciser dans quel "vivier" politique il doit être choisi) .

Par ailleurs la procédure de destitution (article 68) - outre qu'elle s'appuie sur des manquements graves à l'exercice des obligations du Président - doit être validée par les 2 assemblées et votée , en dernier ressort , à la majorité des 2/ 3 : le torero Mélenchon avait sans doute oublié d'enfiler son "habit de lumière" avant d'agiter sa Muleta !

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(1) . La procédure de destitution est entamée en cas de manquement du Président à ses devoirs (article 68) et suppose que le Parlement transformé en Haute-Cour vote la destitution à la majorité des 2/3 . Mais le fait que le Président tarde à nommer un Premier ministre ne peut être assimilé à un "manquement à ses devoirs" (au pire il s'agit d'un élément de stricte opportunité ) .  

lundi 29 juillet 2024

Premier ministre : Lucie s'accroche

 

De Gaulle et Michel Debré se retournent dans leur tombe : Lucie Castets proposée comme PM par le "nouveau Front Populaire " met en demeure le Président Macron de la nommer Première ministre . C'est bien la première fois que l'on force la main au chef de l'Etat alors même qu'il s'agit d'un pouvoir propre de celui-ci au terme de la Constitution (article 8 ) .

Passerions nous désormais dans un régime parlementaire dans lequel les gouvernements se font et se défont au gré des humeurs ?

Rien n'oblige E.Macron à déférer aux objurgations de Mme Castets ( ni à celles en sous-main de Mélenchon ) . Faut-il souligner que le NFP n'est qu'une coalition parmi d'autres et que le président peut nommer qui bon lui semble ...s'il est soutenu par une coalition (qu'il s'agisse d'un "politique" ou d'un membre de la société civile ) .

vendredi 26 juillet 2024

Jeux Olympiques / tentative de sabotage : l'extrême gauche dans le collimateur

Sous l'oeil des délégations étrangères s'étonnant d'une telle chienlit dans les gares françaises et sous le regard désarçonné de vacanciers , les 2 / 3 des TGV se trouvent actuellement  hors de service suite à des sabotages effectués vers 4 H du matin ( 1) .

A l' heure actuelle les pistes se tournent vers l'extrême gauche plus que vers des ingérences extérieures également évoquées (Russie ? ) . Vraisemblablement des complicités intérieures ont permis ces sabotages  sophistiqués et qui requéraient des renseignements venus de l'entreprise .

On se demande évidemment comment les Renseignements intérieurs n'ont rien vu venir alors que ces actions étaient montées , il semble , depuis plusieurs mois . On peut espérer que les nouvelles technologies (caméras intelligentes) permettent de neutraliser ce type d'action qui porte un coup à notre crédibilité en mettant l'accent sur des défaillances alors même que le "plus ultra" sécuritaire accompagne les J.O. 

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(1) La quasi totalité des lignes TGV françaises se sont trouvées paralysées en raison de 3 sabotages d'armoires électriques sur 3 sites d'interconnexion distants de plusieurs centaines de kilomètres et au même moment (vendredi 26 aux environs de 4 H du matin )

lundi 22 juillet 2024

Le temps des "hargneux "

 

Ainsi voici revenu le temps de la hargne et des injures . Aux Etats-Unis Donald Trump apostrophe Joe Biden en le traitant d'escroc et d'incapable . Le "miraculé " n'a pas reçu la grâce de la politesse ... mais celle de la grasse grossièreté . 

Dans le même temps (mais pas dans le même champ ) , en France , Jean-Luc Mélenchon vocifère en en appelant  (plus qu'implicitement) à la révolution .

Faut-il prendre au mot les gros mots de Trump ou n'est-ce qu'une posture ? Probablement . En revanche les vociférations de Mélenchon sont à prendre au sérieux , tout comme il faut avoir à l'oeil tout hystérique qui se prend pour Napoléon .  Lequel des deux finira à Sainte Hélène ...si ce n'est à Sainte Anne ? 

mercredi 17 juillet 2024

Partis politiques : les "pestiférés"

 

Si l'on en croit certains le Rassemblement national  ne devrait , demain, accéder à aucun poste important au sein du Parlement . Est-ce là la démocratie ? En quoi des partis politiques - certes radicaux - devraient être ostracisés alors qu'ils comptent plusieurs millions d'électeurs (11 millions pour le Rassemblement ?) . 

Que l'on tente d'écarter ,lors des campagnes électorales, tel ou tel groupe , cela fait partie du "jeu politique" . Par contre une fois les représentants du peuple siégeant à l'Assemblée , il est incompréhensible qu'on leur barre le chemin des postes de responsabilité (présidence notamment de commissions )  .

Ce qui relève du bon sens et de la démocratie ne devrait pas devenir une "fausse bannière " et l'occasion de jouer à la marelle avec les institutions .  

lundi 8 juillet 2024

Elections : le jeu de "mistigri'

 

Ainsi un chat veillait sur le jeu d'échecs : coalition dans un premier temps contre le " Nouveau Front Républicain" ( en particulier LFI ) et , les trompettes ayant sonné, halali ensuite contre le Rassemblement National . 

Certains disent "Bravo l'artiste" (à celui qui a permis d'éviter que se noie le parti "Ensemble ") .Mais - non pas dans l'ombre mais sur les estrades - reste tapi Jean-Luc Mélenchon et son cortège de soumis à l'insoumis . 

Qu'en sortira-t-il de cette bouillabaisse (plus niçoise que marseillaise) ? En attendant les Français attendent désespérément leur gouvernement autant qu'il attendent l'arrivée du Tour de France . Honneur au maillot jaune qui sortira de l'Assemblée ...le 18 juillet ...ou lors des calendes grecques !