La décision franco-britannique de livrer des armes à l'opposition syrienne inquiète car cette option n'est pas prise en accord avec l'Union. Au moins pour l'instant.
Certes, la France comme la Grande-Bretagne sont des Etats souverains . Pour autant, il s'agit là d'un choix majeur de politique étrangère qui aurait dû trouver un accord dans le cadre de l'Union . Et,tout comme pour le Mali, je regrette l'absence -pour l'heure- de consensus au niveau européen.
Et ce, d'autant que l' on ne peut préjuger des mains dans lesquelles ces armes vont tomber. Salafistes ?
C'est là un pari risqué (qui a dû,certes, s'accompagner de consultations téléphoniques notamment avec Washington).
Et ce, d'autant que l' on ne peut préjuger des mains dans lesquelles ces armes vont tomber. Salafistes ?
C'est là un pari risqué (qui a dû,certes, s'accompagner de consultations téléphoniques notamment avec Washington).
Mais avons-nous les mêmes vues : considérations "humanitaires" ou stratégiques? Difficile d'appréhender le dessous des cartes...
Au fait, quel décor se prépare à l'arrière plan : un accompagnement d' un "printemps" arabe ou bien la préparation d' une possible balkanisation du Moyen-Orient avec la redistribution des cartes qui en résulterait?
Équation à deux (ou trois) inconnues!
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