On peut , après la situation quasi insurrectionnelle à Paris ce samedi , s'interroger : est-on vraiment dans un pays où la sécurité est assurée alors que des casseurs ont mis à sac une bonne partie des Champs-Elysées ?
Plusieurs bâtiments ont été pillés, incendiés et l'intégrité physique d'occupants menacée. . Faut-il laisser se dérouler des manifestations dont plusieurs non autorisées lorsque l'on sait que des casseurs seront présents ?
Il ne s'agit pas de la marche "climat "mais de celle des "gilets jaunes" infiltrés par l'extrême gauche , les anarchistes , l'extrême droite et des casseurs autoproclamés venant aussi de pays voisins (Belgique , Allemagne ) . Emmanuel Macron a tenté de contourner cette situation en lançant un débat : mais les casseurs , hélas, ne débattent pas : ils battent .
Or la crédibilité du gouvernement repose - au-delà des réformes - sur sa capacité à maintenir l'ordre dans un Etat de droit . Tel n'est pas le cas aujourd'hui : l'ordre n'est plus assuré et les institutions sont maintenant menacées . Il ne suffit plus d'affirmer (comme Christophe Castaner le fait ) que les émeutes sont inadmissibles : il ne faut simplement pas les admettre . Au moment où convergent sur les réseaux des appels à des actions "encore plus importantes" , l'heure n'est plus aux tergiversations et au "doigt mouillé " .
Plusieurs bâtiments ont été pillés, incendiés et l'intégrité physique d'occupants menacée. . Faut-il laisser se dérouler des manifestations dont plusieurs non autorisées lorsque l'on sait que des casseurs seront présents ?
Il ne s'agit pas de la marche "climat "mais de celle des "gilets jaunes" infiltrés par l'extrême gauche , les anarchistes , l'extrême droite et des casseurs autoproclamés venant aussi de pays voisins (Belgique , Allemagne ) . Emmanuel Macron a tenté de contourner cette situation en lançant un débat : mais les casseurs , hélas, ne débattent pas : ils battent .
Or la crédibilité du gouvernement repose - au-delà des réformes - sur sa capacité à maintenir l'ordre dans un Etat de droit . Tel n'est pas le cas aujourd'hui : l'ordre n'est plus assuré et les institutions sont maintenant menacées . Il ne suffit plus d'affirmer (comme Christophe Castaner le fait ) que les émeutes sont inadmissibles : il ne faut simplement pas les admettre . Au moment où convergent sur les réseaux des appels à des actions "encore plus importantes" , l'heure n'est plus aux tergiversations et au "doigt mouillé " .
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