mercredi 1 juillet 2015

Faut-il s'habituer, désormais , à "vivre en otages" ?



En Afrique, au Moyen-Orient les otages et les exécutions se multiplient , l ' Union (au-delà de la zone euro) doit faire face au chantage Grec ,  en France - il y a peu - un mouvement "social" des chauffeurs de taxis prenait en otage les voyageurs tentant de rejoindre gares et aéroports dont les accès étaient bloqués , demain et après demain ce sont des "vacanciers" qui vont être pris en otage par des contrôleurs aériens ...

Triste spectacle que de constater à quel point les chantages et la violence gagnent du terrain alors que le civisme s'étiole et que l'emportent  "bluffs" et autres coups de force de natures différentes (Grèce , Ukraine... et - bien sûr - djihadisme aveugle).

Evidemment ces situations ne peuvent être mises en parallèle : un blocage de gare n'est pas une prise d'otages au Nigeria ou des massacres en Irak/Syrie...

Un constat toutefois : nos démocraties sont bien fragiles,faibles et décontenancées lorsque la violence surgit quelle qu'en soit l'intensité.

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